Cher journal,
hier j'ai été au salon du livre. C'était extrêmement mémère et très peu intéressant. Je suis épuisée et triste de n'y trouver presque que des livres de recette et de bien-être. Si le salon du livre est aussi merdique l'année prochaine, je crois que je devrai me suicider. Merci. À jamais.
Entre une larme qui s'étire pour tomber du bout de mon nez et ma manche qui accoure à sa rescousse, j'ai découvert quelques éditeurs intéressants... thank God. Les éditions du Passage présente de SUPERBES albums dont Nunavuk et La compagnie Marie Chouinard. De plus, une petite gamme de romans superbement présentés. Tous les romans de l'édition Les allusifs étaient bouffables. Enfin, découverte des éditions de L'écrou, un petit bébé d'un an à peine fondé par deux éditeurs sympathiques. Un vent de fraicheur a parcouru l'horrible salon de la Place Bonaventure, devancé le gueulage désagréable des ados et un nuage de commérage des petites madames.
Je ne veux pas être pessimiste mais la population vieillit et ça ne fait que commencer. Bientôt on devra les divertir en attendant leur mort pour survivre.
Je suis partie sans livre du Passage (trop coûteux), deux recueils de poésie de L'écrou, un roman des Allusifs et Le ciel de Bay City de mon ancienne prof à l'université, Catherine Mavrikakis. Il est excellent.
hier j'ai été au salon du livre. C'était extrêmement mémère et très peu intéressant. Je suis épuisée et triste de n'y trouver presque que des livres de recette et de bien-être. Si le salon du livre est aussi merdique l'année prochaine, je crois que je devrai me suicider. Merci. À jamais.
Entre une larme qui s'étire pour tomber du bout de mon nez et ma manche qui accoure à sa rescousse, j'ai découvert quelques éditeurs intéressants... thank God. Les éditions du Passage présente de SUPERBES albums dont Nunavuk et La compagnie Marie Chouinard. De plus, une petite gamme de romans superbement présentés. Tous les romans de l'édition Les allusifs étaient bouffables. Enfin, découverte des éditions de L'écrou, un petit bébé d'un an à peine fondé par deux éditeurs sympathiques. Un vent de fraicheur a parcouru l'horrible salon de la Place Bonaventure, devancé le gueulage désagréable des ados et un nuage de commérage des petites madames.
Je ne veux pas être pessimiste mais la population vieillit et ça ne fait que commencer. Bientôt on devra les divertir en attendant leur mort pour survivre.
Je suis partie sans livre du Passage (trop coûteux), deux recueils de poésie de L'écrou, un roman des Allusifs et Le ciel de Bay City de mon ancienne prof à l'université, Catherine Mavrikakis. Il est excellent.
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